Post mortem
Je n’aspire à rien d’autre, post mortem, qu’au sort d’Israël Potter, héros ordinaire d’Hermann Melville, qui, « en récompense de ses loyaux services, fut promu à la plus simple des retraites, dans la terre, avec une pension posthume que le printemps lui verse une fois l’an en mousses et gazon toujours renouvelés ». Une humble […]










