Le vers le plus beau
Longtemps, j’ai pensé que le vers le plus formidable de la langue française était celui-ci : Et vraiment, quand la mort viendra, que reste-t-il ? Cet alexandrin de Verlaine me procure depuis toujours une sorte de vertige. J’aime son côté fracturé (3 pieds, puis 5, puis 4), sa puissance interrogative, et surtout la fulgurante et […]
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