Smaragdin et coruscant
Paul Valéry était incontestablement un amateur d’épithètes rares. Dans ses jeunes années il faisait volontiers étalage de son vocabulaire. A dix-neuf ans, dans une lettre (à Gustave Fourment), il parle de la « splendeur smaragdine » des poèmes de Pierre Louÿs ; dans une autre (adressée à André Gide) il écrit : « J’ai le […]
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