Ripolin vieillit mal
“Vos murs méritent une peinture qui vieillira bien”. Et mes couilles ? (Il semble que cette brillante idée de pubard n’ait pas passé les tests auprès des consommateurs. Bizarre, non ?)
Ripolin vieillit mal Lire la suite »
“Vos murs méritent une peinture qui vieillira bien”. Et mes couilles ? (Il semble que cette brillante idée de pubard n’ait pas passé les tests auprès des consommateurs. Bizarre, non ?)
Ripolin vieillit mal Lire la suite »
Aperçu au marché : des cerises à 14,95€ le kilo (!) Les cerises, les merles les mangent gratuitement, mais les pigeons payent. D’ailleurs, les pigeons, on peut leur fourguer n’importe quoi…
Le tant des cerises Lire la suite »
On apprend dans le Mal propre l’origine du mot marque : la marque du pas, laissée sur la terre par le pied. « Les putains d’Alexandrie, jadis, avaient coutume de ciseler leurs initiales sous la semelle de leurs sandales pour que, les lisant imprimées sur le sable de la plage, le client éventuel reconnaisse la
Grolles et pompes Lire la suite »
Il ne faut pas aujourd’hui désespérer Boulogne (s/mer), pas plus qu’hier Billancourt. En ces temps difficiles pour les marins-pêcheurs, je leur suggère donc une pêche économique en gazole: Pas de quotas à craindre, l’espèce n’est pas en voie d’extinction. Toutefois, le con n’étant pas rare, il ne faut pas s’attendre à le vendre très cher.
La pêche au con Lire la suite »
Mon ami Jacques Langlois, qui a lui aussi connu un tambour de ville, que l’on prend pour Dustin Hoffmann partout sauf là où cela lui ferait plaisir, et qui est l’un des plus grands tintinologues au monde, est l’homme à qui l’on doit la plupart des excellents (“ex-ceylan”) commentaires de ce blog. (Les liens renvoient
Jacques Langlois et la générale Lire la suite »
Je vous recommande la lecture du Mal propre, le dernier livre de Michel Serres. Il y dissèque le lien profond, éthologique, qui existe entre le sale (ce que le corps, humain ou social, expulse : crachat, urine, fumier, sang, sperme, cadavres) et la propriété. Nos déjections et rejets marquent notre territoire. Quand on a craché
Cracher dans la soupe Lire la suite »
Quelqu’un qui m’est très proche et très cher est revenu l’autre jour tout sourire du marché. Je m’informe de la raison de cette bonne humeur. -Je viens de faire une excellente affaire. J’ai acheté trois steaks pour le prix de quatre ! J’aurais dû lui conseiller d’aller faire ses courses sur eBay, où les affaires
Les bonnes affaires du boucher Lire la suite »
L’évocation récente de la bataille de Lépante m’a mis sur la piste de Miguel de Cervantès. L’auteur de Don Quichotte y combattit. Il fit partie des innombrables blessés et y perdit l’usage de la main gauche, « pour la gloire de la droite » dira-t-il. Je me suis donc replongé dans Don Quichotte. La préface
La préface de Don Quichotte Lire la suite »
Il existe de nos jours une multitude d’auteurs méconnus, à qui il arrive d’avoir un coup de génie. Tel est le cas d’Alain Prunier, fabuliste injustement obscur, à qui l’on doit ce concentré surréaliste de jeu de mots en vers : Une génisse avait deux passions dans la vie : De l’éléphant le cri et
Madame veau barrit Lire la suite »
Puisque s’ouvre aujourd’hui le festival de Cannes, je vous livre ici le souvenir de la seule et unique fois où j’y suis allé. C’était en 1995. Jeanne Moreau, Présidente du Jury, m’avait convié à un déjeûner qu’elle donnait à l’hôtel Martinez. Je débarque le matin même par avion de Paris. A l’aéroport de Nice, une
Festival de Cannes Lire la suite »