Il y a bien vingt-cinq ans que j’ai arrêté de fumer. Je m’en passe fort bien. Cependant, en compagnie de gens qui fument, je résiste rarement au plaisir d’en griller une, ou deux (maximum trois). J’ai la chance que ça ne me fasse pas replonger pour autant dans une consommation régulière, mais donc non : je n’ai pas totalement arrêté de fumer.
En vérité, ce qui me manque dans la cigarette, ce n’est pas tant le goût du tabac, ou la nicotine, que la liberté qui lui est associée, et d’abord la liberté de fumer, celle de se foutre de savoir si c’est bon ou mauvais, celle de faire un subliminal doigt d’honneur à ce qui est raisonnable et médicalement correct, celle de se parer d’une forme d’insouciance qui ressemble à la jeunesse.
En fumant, je tire surtout quelques bouffées de nostalgie.
Tirer une ” bouffée de plaisir ” avec ” la cij ” est aussi une belle liberté qui en plus se déguste !
Fumer moins c’est déjà bien, mais cij ‘arrête c’est peut être mieux.
Notre nouveau parfum fait un tabac…
garantie d’une “inhalation profonde, assumée, tranquille, qui vous descend jusqu’au fond des poumons et vous étourdit” sans fumée, sans nicotine, sans électronique – l’extrême plaisir du geste
Merci pour vos chansons, vos textes, vos poésies
l’Anjou n’a pas écouté je crois, sur ses terres, meilleur poète depuis Joachim du Bellay.
Jamais deux sans trois, en attente du prochain concert.
Je partage entièrement ton analyse avec un cigare de la Havane par jour…