La porte est l’adaptation française de cet extraordinaire poème d’Ibn Arabi, dont j’ai parlé souvent (mais il y a longtemps déjà) sur ce blog. C’est une chanson que je chante peu sur scène, parce qu’elle suppose une humeur méditative, et que j’ai tendance, en public, à privilégier la partie gaie et souriante de mon répertoire. […]
La porte (video stream) Lire la suite »
Les chansons s’écoutant désormais sous forme de videos davantage que sous celle de simples fichiers “son”, j’ai commencé à mettre mon répertoire dans ce format. Pour débuter, j’offre La femme à la lettre. Cette chanson se réfère à mes années hollandaises. Elle est construite comme un fondu enchaîné de tableaux célèbres. Je n’ai pas voulu
La femme à la lettre (video stream) Lire la suite »
J’ai eu la chance, quand j’étais petit, de passer quelques mois dans une école de filles où j’étais le seul garçon. Je m’en souviens comme d’une période bénie. Les bonnes soeurs (c’était une institution religieuse, j’ai vite bifurqué par la suite vers l’école laïque) m’adoraient, j’étais leur mascotte. Elles me faisaient dire des récitations et
Arbon au paradis Lire la suite »
Ce passage sur Canal eut un retentissement auquel je ne m’attendais pas. Des rediffusions en pagaille, des centaines de milliers de vues sur youtube, dailymotion, etc. Les gens me reconnaissaient dans la rue : — Crassens !? Vous êtes Crassens !!?? J’ai vraiment hésité à l’époque à faire de Crassens une sorte de double d’Arbon.
Je ne me suis pas vanté de la chose pendant dix ans, mais admettons qu’il y a désormais prescription. Je révèle donc aux membres de ma famille et à mes amis qui l’ignoreraient qu’en février 2006 je me suis livré à une activité télévisuelle coupable, dont je m’en vais dévoiler les tenants (aujourd’hui) et les
Chansons pour aller en prison Lire la suite »
Les Arbon, on l’a dit hier, sont une espèce rare, si bien que la question se pose aux esprits curieux : où en voir un ? Les Lorrains, qui sont gens sensés et pragmatiques, ont repéré, en consultant la rubrique prochains spectacles de ce site, qu’avant de repartir en tournée avec Marie Christine Barrault pour
Arbon sur Moselle Lire la suite »
La chanson a pour titre 2012, mais elle contient un couplet sur 2016. (Mon Dieu, que 2016 paraissait loin lorsque je l’ai écrite…) En deux mille seize M’égarerai-je aux sources du Zambèze Restera-t-il dans ton cœur quelques braises Danserons-nous la javanaise A ces questions, les réponses se dessinent. Non, je ne m’égarerai pas dans le
Dans le cadre de la COP21 on débat à perte de vue du réchauffement du climat, des énergies fossiles, des gaz à effet de serre, de la fonte des glaces, de la montée des eaux, des déplacements de populations, des forêts, des mérites comparés du solaire et de l’éolien, de quotas, de gros sous, tous
240000 par jour Lire la suite »
Mademoiselle Du Parc était prénommée Marquise. Du Parc était le nom de son mari, on aurait donc dû l’appeler Madame Du Parc, mais elle était comédienne, et c’est le privilège des femmes de scène d’être appelées Mademoiselle quels que soient leur âge ou leur statut matrimonial. Son Du Parc de mari était, nous dit-on, «
Le dernier Rock’n Roll est joué ici en acoustique : deux guitares folk, un set de percussions avec cajon (musiciens : Patrick Gorce et Félix Béguin). Mais c’est presque une esthétique métal qui lui conviendrait. Des guitares électriques avec de grosses distorsions, une basse bien présente, une batterie puissante… Je crains qu’il ne soit hélas
Un dernier rock’n roll au New Morning Lire la suite »
