Jean-Pierre Arbon

Paradis Perdu

C’est la chanson préférée de mon père. C’est chantée par lui que je l’aime. Elle date de 1939, et quand je l’entendais la chanter, je pensais que ce Paradis perdu c’était celui de l’avant-guerre, de son enfance, de tout un monde que le temps et la folie des hommes avaient vaillamment englouti. Et puis j’ai

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Salon du livre : bombe, alerte et poésie

Nous nous apprêtions dimanche à tenir une table ronde sur « Comment chanter la poésie ? », lorsque le Salon du Livre fut intégralement évacué vers 17h15. Les hauts parleurs évoquaient la nécessité d’un «contrôle technique», tout le monde a compris qu’il s’agissait d’une alerte à la bombe, et tout le monde est sorti tranquillement.

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Paître et avoir pété : IV. And the winner is…

Le vermisseau ! Car qui se réjouit des émissions de CO2, CH4, NO2, etc. ? Les insectes, que le réchauffement climatique incite à une activité reproductrice euphorique. Plus précisément, le nombre de générations d’insectes susceptibles de voir le jour en une année augmente. On appelle cela le voltinisme. D’une ou deux générations par an, on

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Charles Trenet : Que reste-t-il de nos amours?

Sur la play-list impossible d’Arbon  figure ce véritable classique du “Fou Chantant”. Mais cette chanson est tout sauf folle! Paradoxe?  Vision tronquée? Quelle place exactement occupe Trenet au Pantheon Musical d’Arbon? Trenet, je le place très haut, dans le Top 5 (cf ma chanson “J’aime bien“). A bien des égards c’est le plus grand: c’est

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