C’est peu après l’épisode des cartes postales que Jacques Langlois et moi avons composé “Quai de Jemmapes“. A cette époque, Mireille, la célèbre Mireille du “Petit chemin qui sent la noisette” et de “Puisque vous partez en voyage”, animait encore son “petit conservatoire de la chanson”. L’”oeuvre” achevée (voir l’article chanson idiote pour plus de […]
Mireille et mes éphémères débuts Lire la suite »
Céline Caussimon m’a fait un beau cadeau. Quand je l’ai connue, je lui ai dit quelques mots sur son père, Jean-Roger Caussimon, qui a écrit avec Léo Ferré quelques-unes des plus belles chansons qui soient: Mon Camarade, Monsieur William, Comme à Ostende, Le temps du Tango… (Toutes les chansons signées Caussimon/Ferré sont des merveilles). Mais
“Elle entrouvre sa collerette / Et le couche contre son sein / C’était tout ce qu’elle avait, pauvrette / Comme coussin” Brave Margot! Voici une des chansons authentiquement populaires de Brassens, dont Pierre Perret a peut-être pris inconsciemment ombrage. Eh! oui… Tout ça fait des jaloux…
Margot et ses chats Lire la suite »
Il y a quelques jours, j’avais évoqué l’impression trouble que me laissait Pierre Perret, à propos d’emprunts qu’il cherchait à cacher (cf Mon côté XVIIè). Or cette semaine, Sophie Delassein publie dans le Nouvel Obs un article joliment titré “Perret et le pot aux roses”, qui ne fait guère apparaître ce brave chanteur sous son
“Perret et le pot aux roses” Lire la suite »
Je me souviens est une chanson d’Yves Montand, dont les paroles sont d’Aragon, et la musique de Philippe Gérard (qui a également signé pour Montand les admirables le Chat de la voisine, Rengaine ta rengaine, et la Chansonnette). C’est une chanson que Jacques Langlois et moi avons beaucoup chanté ensemble. Longtemps, nous l’avons appelée “Les
Les cartes postales (Je me souviens) Lire la suite »
Une des chansons les mieux notées à ce jour parmi celles qui postulent pour le futur album, c’est “Avant de traverser les nuages“. Je suis frappé par l’écho qu’elle rencontre auprès d’auditeurs de toutes générations et de tous milieux. Et plus je la chante, plus je crois comprendre pourquoi. Elle fait partie de ces titres
Avant de traverser les nuages (live) Lire la suite »
Entendu à la radio: Jean-Pierre Raffarin aurait déclaré que le mouvement social de demain jeudi était comme l’albatros de Baudelaire : “ses ailes de géant l’empêchent de voler“. Jolie raffarinade, totalement incongrue, mais qui se pimente ici d’une double erreur patente: de citation, et de fait. Ah! Les ailes empêcheraient de voler, maintenant… Il est
Les pieds de Raffarin l’empêchent de marcher Lire la suite »
On m’a raconté qu’un musicien, à l’oreille très développée, écoutait beaucoup de disques, du temps des vinyles. Mais au lieu de les ranger soigneusement dans leur pochette après écoute, il les entassait les uns sur les autres, sans en prendre aucun soin. L’un de ses amis s’inquiéta de cette pratique: les vinyles (ou microsillons) étaient
Le temps des vinyles Lire la suite »
Je ne m’attendais pas à trouver tant de mouettes à Prague. On se serait cru en bord de mer. Le ciel gris, le jour timide leur allaient bien. Elles s’amusaient à faire du surplace dans le vent froid et vif, chargé de bruine en guise d’embruns. Les toits de la ville, hérissés de flèches, de
Les mouettes de Prague Lire la suite »
Score décevant pour l’article “Blog, poils de cul et plume d’autruche“, qui se situe dans la norme de fréquentation de ce blog. C’est dommage pour ceux qui ratent ainsi le joli objet que j’y présentais. Mais c’est pour moi une bonne chose, car je n’avais pas l’intention de devenir le spécialiste du poil quelque part.
Poils de tout poil Lire la suite »
