Jean-Pierre Arbon

L’astringence, ou la beauté concrète du citron

Les paroles de La Femme à la lettre sont nées de mes visites répétées au Rijksmuseum, et au Mauritshuis, du temps que j’habitais Amsterdam. Je suis beaucoup plus sensible à la peinture hollandaise et flamande qu’à la peinture italienne qui l’a chronologiquement précédée. Je n’ai jamais eu beaucoup d’attrait pour ces Madones, ces chapelets d’ange,

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Le décalage du cochon

J’ai eu le grand plaisir de rencontrer la semaine dernière les élèves d’une classe de seconde d’un lycée de l’Essonne, à l’invitation de leur professeure. C’étaient des ados vivants, chaleureux, éveillés, souriants, attentifs. Ils avaient bien travaillé avant ma venue: chansons de bienvenue (merci Mélanie, spécialement pour Sic transit, qui n’est pas facile ni à

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