L’écrivain anglais Samuel Butler avait dit un jour, à propos de son confrère Carlyle et de sa femme, qu’il détestait : « Dieu a été bien bon de permettre que Monsieur Carlyle se marie avec Mme Carlyle : ça n’a fait que deux malheureux au lieu de quatre ».
Quand on a appris, la semaine dernière, que l’homme le plus riche du monde se séparait de son épouse en lui laissant la moitié de sa fortune (estimée tout de même à 140 milliards de dollars), j’ai eu une pensée symétrique : « Dieu est bien bon de permettre que Monsieur et Madame Bezos divorcent : ça pourra faire quatre heureux au lieu de deux ».