Tant qu’on a la santé

C’est une chanson du VIè ou Vè siècle av JC, composée par un poète grec dont on ignore le nom. Elle dit à peu près ceci : « Le bien le plus précieux pour un mortel c’est la santé ; puis celui d’être venu au monde dans un beau corps ; en troisième lieu d’être riche sans être malhonnête ; et enfin d’être jeune et d’avoir des amis ».

La santé, la beauté, la richesse, la jeunesse, comme autant de couplets d’une immémoriale rengaine pour chanter le bonheur. Du fond des âges, on sait que la jeunesse ne dure pas, que le physique est aléatoire, que la fortune est incertaine et que la condition pour jouir de tout le reste, c’est la santé. Être beau, riche, jeune mais malade ne vaut pas d’être vieux, laid et pauvre, tant qu’on est bien portant.

Moi, j’aurais ajouté l’amour.

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AGUERRE G.

Génial! En plein dans le 1000 😃 G.