Page blanche

Voici un ouvrage comme je les aime : bref, léger, drôle, étonnant. Qu’on en juge : entre un petit conte absurde et une très courte mais réjouissante nouvelle, surgit une page blanche, qui ne l’est d’ailleurs pas complètement puisqu’y figure une note de bas de page précisant que « ces pages blanches illustrent des phénomènes inexistants ; ou des phénomènes parfaitement existants mais que l’auteur ne souhaite pas aborder, pour des raisons bien à lui ».

Pour des raisons bien à moi, j’ai aussitôt mis ce livre (Les Minimythes, d’István Örkény) en haut de la pile désormais bien trop haute de ceux dans lesquels, un jour peut-être, je me replongerai.

S’abonner
Notification pour
guest

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires