© Delucq
Le gros chien, mi bouledogue mi doberman, s’est mis à aboyer tout de suite. Et le marcheur a passé son temps à essayer de le faire taire. L’homme prétendait nous faire découvrir un chemin qu’il disait nouveau et riche de points de vue inédits sur le paysage de France, mais le chien n’a cessé d’agripper son pantalon et de lui mordiller les mollets. C’était un animal agressif et obtus, dont on a eu bien vite les oreilles cassées. À peine avançait-on de quelques pas qu’il redoublait de grognements et souillait les lieux en allant lever la patte un peu partout. Le marcheur protestait en vain. Il nous a bien pourri la promenade.
Telle est mon impression du débat d’hier soir.
Anne Chaumeil :qu’est-ce que le galimatias dont vous nous bassinez ?Ne serait-ce pas vous qui écrivez les discours sans queue ni tête de macron ,que du reste il ne comprend pas.Ou peut-être,pauvre de nous, un sérieux Alzheimer lui fait dire tout et son contraire mais surtout rien de construit .Nous n’avons pas du voir la même émission :j’ai supporté un monument de suffisance complètement creux fortement mal élevé qui coupait la parole à une jeune femme calme qui elle n’a pas bavé (vous revoir à la fin de l’émission)et qui répondait calmement aux inquiétudes des Français .
Quelle arrogance ! À la hauteur de celle de M. Macron, hier au soir !!!
Excellent !