L’ami Béra a récemment publié sur sa page FB un étonnant document, qui révolutionne la conception que le vulgum pecus se fait ordinairement d’un slip.
Qu’y apprend-on ? Que la notion de slip « se fonde sur des enregistrements sédimentaires déposés en milieu de basse-énergie tels que les vasières » ; que « la détermination de la position verticale d’un slip répond à l’équation suivante : SLIP(t)=H-D-I(t)+E » ; et que les slips désignent la position du niveau marin relatif à un temps (t) .
Explication : le slip dont il est question ici est l’acronyme de Sea-Level Index Points, et constitue l’élément central d’une méthodologie permettant de déterminer les variations relatives du niveau de la mer.
Il n’empêche, cette évocation de vase et de niveau m’a fait penser à Toto, à qui la maîtresse demande un exemple de rimes. Et Toto dit :
— A la pêche à la grenouille
J’avais de l’eau jusqu’aux genoux.
— Mais ça ne rime pas, Toto.
— Madame, il n’y avait pas assez d’eau.
Pour connaître le niveau de la mare, calculer la position verticale du slip de Toto.