Refrains & couplets

Levons un petit coin du voile sur le spectacle La Fontaine / Brassens qui se donne (à guichets fermés) ce soir pour la première fois. J’y ai introduit quelques curiosités, dont un inédit de Brassens, qui s’appelle le Cauchemar, et commence ainsi : Sa Majesté n’avait pas l’air d’un Cypriote D’un Belge, un Suisse, un […]

  Finance J’ai dans mes cartons une comédie musicale inachevée, intitulée Les Rats, dont le point de départ était Les animaux malades de la peste : j’imaginais ce qui avait pu se passer avant la scène décrite dans la fable, et ce qui pouvait se passer après. Le Lion et ses conseillers demeuraient les principaux

Il s’en va temps que je vous dévoile le visuel du spectacle La Fontaine / Brassens sur lequel je travaille depuis quelque temps. J’avais eu l’idée (qui devait être assez bonne car Pierre Fesquet, qui met en scène, l’a eue en même temps que moi) de combiner la moustache et la pipe de Georges avec la perruque de Jean.

Pour en terminer avec la courte série d’articles évoquant ma période vanvéenne, voici la chanson majeure de l’époque, écrite au début de 1982. Je n’en ai pas retrouvé d’enregistrement, juste le texte. J’avais vingt-huit ans, et la conscience aiguë que je faisais fausse route, sans pour autant vouloir véritablement en changer. Hommage à la ville

Vanves apparaît dans plusieurs de mes chansons écrites à l’époque où j’y habitais. L’une des plus “populaires” auprès de mes amis s’intitulait Sadi Carnot street, du nom de ma rue. Elle marquait mes débuts dans le genre rock’n roll.   Sadi Carnot street  Quand tu sors de Paris t’évites de peu la banlieue rouge Une

La deuxième édition de Chansons et mots d’Amou est sur les rails. Je me contente pour le moment d’en reproduire ici le communiqué de presse (d’autant qu’il a été rédigé par Claudine et moi): Le festival Chansons & Mots d’Amou organise les 9 et 10 août prochains sa seconde édition. Concerts et spectacles musicaux rencontrent

J’ai animé il y a quelque temps un atelier d’écriture. Juste après m’avoir présenté aux participants, et à titre d’échauffement, l’organisateur a proposé à tous un exercice d’écriture sous contraintes : composer, en trois minutes, un quatrain contenant les mots plume, cuisine, et tortue. Je m’y suis prêté moi aussi, et je viens, par hasard,

J’ai donc envoyé à Daniel la version du Fidèle absolu complétée par mes soins. Et puis, je me suis souvenu que j’avais dans ma bibliothèque, en trois volumes, les fac-simile des manuscrits de Brassens. J’y suis allé voir, et j’ai trouvé un brouillon bien propre de notre chanson. Le sizain était complet. « Des pays

Georges Brassens a laissé à sa mort un certain nombre de textes de chansons sans musique. Quelques épigones plus ou moins inspirés se sont lancés dans des compositions, dont certaines (on peut ainsi s’en faire une idée) sont disponibles sur Youtube. Parmi ces textes « orphelins » se trouve le Fidèle Absolu. L’histoire, joliment tournée,

  Cette chanson m’était venue comme un écho à One for my baby, de Frank Sinatra. Un homme, installé à un bar, légèrement ivre, vaguement hébété, se pose des questions sur sa relation du moment. Tout tangue doucement, et son coeur le premier. Le texte date de 1982. Vingt ans plus tard, Raphaël Bancou a