Lu – vu – entendu

J’ai terminé le weekend dernier le meilleur livre du moment : Life, l’autobiographie de Keith Richards. On s’attend à “sex, drugs, and rock’n’roll” et on n’est pas déçu, encore qu’il faudrait sans doute réarranger l’ordre des mots, et écrire plus justement “rock’n’roll, drugs and sex”. Car voici ce qui est génial dans ce livre : […]

En ces temps où les corps de métiers les plus divers vous présentent leurs voeux et vous offrent des calendriers, je vous propose à mon tour la première page de l’un de ceux que j’ai reçus récemment par email. C’est comme un calendrier Pirelli, sauf que là, les pneus sont crevés.

Je reçois un email enthousiaste d’over-blog (la plate-forme qui héberge ces petits billets quotidiens) m’annonçant que je suis entré dans le top des blogs, et figure à la 1787è place (sur plus de 1 450 000 blogs), ce qui me réjouit beaucoup, et m’amène à vous remercier, vous qui êtes de plus en plus nombreux

Scott Bricklin livre une très jolie réflexion (sur facebook) à propos de la chanson “Starting Over” qui illustre ma “pensée pour John“. Il écrit que redémarrer (starting over) n’a rien à voir avec le fait d’oublier le passé, et tout à voir avec celui de se souvenir du présent (“Starting Over” (…) has nothing to

Après avoir livré mon commentaire personnel sur la supposée “tristesse de la chair” chantée par Reggiani dans Rupture, ( et lu la note dont l’a agrémenté mon ami Jacques), je me suis interrogé sur “la chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres”, le vers fameux de Mallarmé. Je me suis dit

Etant devenu, à cause du Cochon, et presque à mon corps défendant, une sorte de spécialiste de l’économie porcine, mes amis m’alimentent (si j’ose dire) en informations sur le sujet. La dernière que j’ai reçue est particulièrement intéressante, car elle confirme que dans le cochon tout est bon, bien au-delà de ce qu’on imagine habituellement.

Comment obtient-on du porc maigre? En lui faisant faire beaucoup d’exercice. Je reproduis ici la fiche d’un cochon que j’appellerai Ulysse, dont la traçabilité nous révèle qu’il est né au Canada, a été élevé en Australie, a fini ses jours en Belgique, pour terminer glorieusement son voyage, “plein d’usage et raison”, sous forme de hâché

J’ignore si Joan Miro avait des problèmes de vue. Toujours est-il que miraud s’écrit aussi miro. La “Main attrapant un oiseau” ( nom de la toile reproduite ici ) ressemble d’ailleurs plutôt à un pied. Est-ce important ? Non. Miro n’a jamais été réaliste. Il a été surréaliste (“le plus surréaliste d’entre nous” écrit Breton),

© Reuters / Philippe Wojaver – Non, Monsieur, vous n’y êtes pas… Déplacez-vous de trois pas sur votre gauche, et descendez votre nez de vingt centimètres. (Photo publiée par Le Monde, à l’occasion d’une vente de photos d’Avedon chez Christie’s à Paris. Ici, “Stephanie Seymour, Model, New York City 1992”). C’est quand même très embêtant

J’ai eu un choc. On a signalé que mon nom avait été publié récemment sur le site “News de stars”. J’ai cru que je faisais mon entrée dans la presse people. J’ai cherché des nouvelles de moi entre un papier sur le Prince Harry et un autre sur le divorce d’Eva Longoria et Tony Parker.