Ni peureux ni rechigné
Les bienfaits de la chanson sont connus depuis longtemps. En 1553, pour qu’il ne soit « ni peureux, ni rechigné », une jeune femme chante pour l’enfant qu’elle porte dans son ventre. Elle chante même en accouchant. Puis elle baptise les lèvres de son fils avec du vin et de l’ail. Elle s’appelait Jeanne d’Albret. Et son […]
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