Synéisaktisme à l’indienne

On apprend qu’un livre, qui doit être passionnant, vient de paraître en Angleterre sur la vie sexuelle de Gandhi. Le scoop (très relatif puisque l’info est dans Wikipedia et que Gandhi lui-même nous la livre dans son autobiographie) est qu’il était adepte d’une sorte de synéisaktisme à l’indienne, consistant à partager son bain avec des jeunes filles pubères et à se faire par elles masser nu.

Vue sous cet angle, la pratique me semble tout-à-coup moins mortifiante que chez Robert d’Arbrissel. Ne serait-elle pas en fait une réminiscence, une manière d’agrémenter une nostalgie d’enfance que tous ceux qui ont eu la chance d’être choyés peuvent avoir, en Inde ou ailleurs?

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