Restons encore un peu à Fontevraud. Je fais suite à mon billet sur les exercices spirituels de Robert d’Arbrissel. Les documents iconographiques sont rares sur la vie à Fontevraud au début du XIIè siècle, aussi doit-on se contenter de reconstitutions qui sont certainement sujettes à caution.
Voici néanmoins une vue partielle de ce à quoi pouvait ressembler le dortoir, au cours d’une de ces nuits de la tentation, qui ne sont peut-être qu’une légende. La tentation, à l’époque, on priait le ciel non pas de ne pas nous y soumettre, mais de ne pas nous y laisser succomber.
Ce sont là en tout cas des gisants qui ne laissent pas de marbre, et Robert était un homme d’une trempe bien particulière s’il a pu y résister.
tres jolie vue
bon dimanche
Je le répète : trop difficile !
Pas de doute, en ce début de printemps, notre ami Arbon a du, sur le chemin de Fontevraud, faire un petit détour par la Devinière, près de Chinon, là où naquit Rabelais!