Marion Mazauric pour les nuls

Pour présenter Marion, je laisse la parole à Thomas Clément, on peut difficilement être plus efficace :

marion-copie-1.jpgMarion Mazauric est à l’édition ce que Jimi Hendrix est à la Fender Stratocaster (pour les très nuls : sa guitare). 
Après une brève trajectoire qui l’a conduite d’Actes Sud à Marseille, elle est devenue en 1987 adjointe du directeur littéraire de J’ai lu, puis directrice littéraire en 1996. Après 13 ans de va-et-vient entre Paris et Nîmes, elle a décidé de rentrer chez elle pour créer Le Diable Vauvert, sa maison d’édition à elle toute seule et à ses associés. Le succès arrive très vite, notamment grâce à la découverte de  Nicolas Rey qui obtient le prix de Flore en 2000 pour son roman Mémoire Courte. Qualifiée par la presse parisienne d’intrépide, de trublion, de turbulente, voire de guerrière aux cheveux gris acier, Marion Mazauric est facilement repérable parmi les clones germanopratins, c’est la seule qui est enthousiaste quand elle parle de ses auteurs !

http://clement.blogs.com/thomas_clment/2005/12/comment_jai_sig.html

C’est tellement vrai, cet enthousiasme pour ses auteurs, qu’elle a invité Céline Robinet à partager la scène de l’Essaion avec elle et moi mercredi prochain. Et Céline aussi, c’est quelqu’un…

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