Je vous ai laissés il y a quelques jours aux prises avec un problème difficile, dont je suis soulagé de vous livrer l’étonnante solution : conservons les vaches et les prairies, pourvu qu’il n’y ait pas trop de vaches à l’hectare. (Un grand merci aux chercheurs qui ont réalisé cette étude d’avoir fait faire un tel bond à nos connaissances).

Mais si j’en crois mon amie Yolaine de la Bigne, et son excellent petit journal gratuit Neoplanète, le vrai problème n’est pas tant l’émission de méthane par les vaches, que l’émission indirecte de CO2 liée à l’élevage, notamment pour produire de quoi nourrir et engraisser ces chères têtes cornues. Bouc émissaire tout trouvé, si l’on ose dire: le veau, dont il faut nourrir la mère pendant plus d’un an pour obtenir à peine cent kilos de viande.
L’environnement va de mal en pis…

Mais si j’en crois mon amie Yolaine de la Bigne, et son excellent petit journal gratuit Neoplanète, le vrai problème n’est pas tant l’émission de méthane par les vaches, que l’émission indirecte de CO2 liée à l’élevage, notamment pour produire de quoi nourrir et engraisser ces chères têtes cornues. Bouc émissaire tout trouvé, si l’on ose dire: le veau, dont il faut nourrir la mère pendant plus d’un an pour obtenir à peine cent kilos de viande.
L’environnement va de mal en pis…
