Qu’advient-il de la jeune fille du métro lorqu’elle est enceinte? J’ai trouvé un élément de réponse dans une conversation que j’ai saisie sur Facebook. L’une de mes “amies” écrit qu’elle s’est entendu dire dans une rame bondée que “c’est quand même curieux de prendre le métro aux heures de pointe quand on est enceinte”. Elle proteste : “Ah ben oui, c’est vrai ça, la femelle pleine devrait prendre les transports une heure plus tôt, ou un velib, ou ses pieds pour aller travailler”…

Sa mésaventure provoque naturellement de la part de ses “amies” facebookiennes une avalanche de réactions indignées, ironiques, voire violentes. Parmi tous ces commentaires, l’un a retenu mon attention par son questionnement philosophique et sa portée générale. Il énonce sur le mode interrogatif une loi universelle, d’une consternante vérité :
“Pourquoi a-t-on l’impression que plus il y a de monde, plus le nombre de cons augmente par rapport à celui des gens sympas ?”

Sa mésaventure provoque naturellement de la part de ses “amies” facebookiennes une avalanche de réactions indignées, ironiques, voire violentes. Parmi tous ces commentaires, l’un a retenu mon attention par son questionnement philosophique et sa portée générale. Il énonce sur le mode interrogatif une loi universelle, d’une consternante vérité :
“Pourquoi a-t-on l’impression que plus il y a de monde, plus le nombre de cons augmente par rapport à celui des gens sympas ?”
Vaste question du pluriel, qui ne vaut rien à l’homme, comme disait Brassens.