Quand je serai vieux
Que je perdrai mes cheveux
Dans bien des années…
Je chante cette chanson depuis qu’elle est sortie en 1967, depuis que j’ai 14 ans. The Beatles, When I am sixty four. Inutile de dire qu’au début je trouvais ça très loin. Cinquante ans à traverser. C’était de l’autre côté de la vie.
J’atteins aujourd’hui cette rive fameuse, je touche ce faux horizon.
Et si je rentre à trois heures du mat’ / trouverai-je porte close ?
Tiendras-tu à moi ? Me feras-tu des p’tits plats
Quand j’aurai 64 ans ?
Les questions étaient bonnes. Elles ne se posent plus, ou bien j’ai les réponses. De toute façon, je suis en train de passer l’âge.
PS : Pas moyen d’avoir sur You Tube la version des Beatles. En revanche, on trouve celle de cet Apollo Club, dont une bonne partie des membres semblent savoir, comme moi désormais, de quoi il retourne.
“Birthday greetings, bottle(s) of wine” : le programme a été rempli comme il convenait ! Un grand merci à tous ! 🙂
Tu ne me croiras peut-être pas, mais même sans FB je me souviens de la date de ton anniversaire! Pourquoi y a-t’il comme ça des dates ou des numéros de téléphone dont on se souvient même si on n’en a pas besoin? Alors que d’autres nous échappent douloureusement…
Happy 64th!
Odile (dans le lounge AF, en route pour Montevideo)
Bon anniversaire Jean-Pierre!
Eh bien bon anniversaire ! souffleras tu les bougies ?