Fileuse patiente, tisseuse habile, l’araignée avait bâti sa toile. D’abord le cadre, puis le moyeu, puis la spirale, selon le savoir-faire immémorial de son espèce. Elle attendait la secousse qui l’avertirait qu’une proie était prise au piège. Mais le soleil du matin l’a dévoilé aux yeux de tous.

Oeuvre superbe!
et aussi tes écrits sur la simple vie, qui est la meilleure 