Sur le mont Saint Quentin

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Le sentier montait continûment. La pente, par endroits, était raide. Il faisait un temps froid et sec, tous les sous-bois situés au nord étaient recouverts de givre. Je soufflais, je peinais, mon cœur battait, le soleil brillait à travers les branches, et soudain la pensée m’est venue que ce bois solitaire serait un bel endroit pour mourir.

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