Chef d’oeuvre de la chanson “bête” des années 1900, “Elle était souriante” (paroles d’Edmond Bouchaud, dit Dufleuve – musique de Raoul Georges) n’a jamais été enregistrée intégralement : trop longue… Pourtant cette progression dans l’horreur absurde mérite d’être connue, aussi je vous en recopie ci-dessous les couplets. On l’entend ici chantée par Montel, l’un de […]
Le lendemain elle était souriante Lire la suite »
J’ai connu Dick Brass il y a une dizaine d’années alors qu’il était vice-président de Microsoft, en charge du développement technologique, et qu’à ce titre il s’occupait beaucoup de “ebooks”. C’était un personnage drôle, bon vivant, et malin comme un singe. Avant de se consacrer entièrement à l’informatique, il avait occupé un temps au cours
Dick Brass et la gastronomie allemande Lire la suite »
Le chef d’oeuvre de Gainsbourg, c’est l’Homme à tête de chou (1976). C’est là qu’il est au sommet de son art, de son humour, de son jeu avec la langue, de sa dérision. Totale liberté musicale, totale invention (techno, électro, slam sont déjà là…), et totale parodie de tous les genres, ceux qu’il invente comme
L’Homme à tête de chou Lire la suite »
Je suis une petite araignée De ma voix je tisse ma toile Une chanson au fond qu’est-ce que c’est Un piège à gouttes de rosée Qu’on fait passer pour des étoiles
Des gouttes de rosée qu’on fait passer pour des étoiles Lire la suite »
Paul Simon a écrit en 1975 cette chanson qui figure sur l’album « Still crazy after all these years ». Je l’aime à cause de son titre. Annoncer un catalogue des cinquante manières de rompre, c’est répandre un humour apaisant sur la douleur des séparations. Je l’aime aussi pour son roulement de tambour militaire aussi
Fifty ways to leave your lover Lire la suite »
Mon très cher oncle est mort récemment. Il avait 84 ans. J’ai cherché s’il existait une trace de lui sur Internet. La réponse est celle-ci : http://www.degustateurs.com/forum/forum_posts.asp?TID=9868&PN=1 Dégustation de septembre 2007 Puligny-Montrachet « Les Caillerets » 2005 de Jacques Arbon : Une très belle bouteille découverte. Quelqu’un connaît-il le producteur de cette très belle bouteille
Aristide Bruant (1851-1925) n’est pas né à Paris, mais qui a plus et mieux chanté le Paris de 1900 que lui ? Ses musiques sont simples et se retiennent tout de suite, ses paroles font la part belle à l’argot populaire, et tout le monde connaît encore certaines de ses chansons (Nini peau d’chien, le
Rue Saint Vincent Lire la suite »
J’ai déjà évoqué ces alexandrins merveilleux qui ne sont pas tous de la plume d’un auteur célèbre. Les perles des assurances nous offrent celui-ci, implacable comme le destin, dont j’imagine qu’il devait servir de prologue à un courrier d’anthologie : Chacun des conducteurs conduisait sa voiture. C’est presque aussi concis que du La Fontaine. En
Le génie de l’Assuré Lire la suite »
De tout le spam dont Internet nous inonde, on peut extraire de temps en temps un bijou. Ici, en l’occurrence, des perles. Celles des assurances. J’ignore quel est l’ami qui me les a fait parvenir, elles proviennent soi-disant du centre de documentation et d’information de l’assurance, et l’orthographe, le vocabulaire et la grammaire sont réputés
Perles des assurances Lire la suite »
Premier jour: le livre de comptes Deuxième jour: démontage de la sonnette Troisième jour: en attendant Françoise Six mois après cet incident (voir Troisième jour: je ne vous aime pas), et alors que dans l’intervalle nos relations se sont limitées au strict minimum, Françoise Verny entre pour la première fois dans mon bureau. C’est un
Mon arrivée chez Flammarion: six mois plus tard. Lire la suite »
