J’ai parlé récemment du désavantage de la science. On aura compris que c’est par antiphrase, et par référence à une fable de La Fontaine, intitulée l’Avantage de la Science, dont j’ai déjà fait mention. Cette fable met aux prises un riche bourgeois et un savant. Le bourgeois prétend que c’est lui que le savant doit […]
Rien de plus simple que cette recette: déposez un chou-fleur, dûment coupé en morceaux, au-dessus d’un faitout rempli d’eau, afin de le faire cuire à la vapeur. Amenez à ébullition, puis allez faire un somme. Lorsque vous vous réveillez, quelques heures plus tard, constatez que l’eau s’est complètement évaporée, et que le chou-fleur a pris
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Le Cochon (qui s’appelait initialement : La différence du cochon) se propose de faire une synthèse hardie entre la chanson idiote et la chanson philosophique. Aussi incroyable que ça puisse paraître, il semble que ça ait l’air de fonctionner. Je me demandais comment l’illustrer avec des images, lorsque je suis tombé sur le film “Le
Le cochon (clip, première approche) Lire la suite »
J’ai reçu beaucoup de commentaires et de messages élogieux après le concert de la semaine dernière. Je remercie ceux qui se sont donné la peine de les écrire. Je remercie également ceux qui m’ont adressé des critiques, pourvu qu’elles aient été argumentées. Ce qui est exaspérant, c’est le “mmmmouais…” le “bof”, le “nul”, dépourvu d’explication.
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On ne sort pas de chez Corti sans avoir acheté un ouvrage. Pour quelqu’un qui aime lire, c’est comme pour un gourmand: on ne sort pas de chez Cantin sans fromage, ou de chez Ladurée sans macaron. Celui que j’emportai lors de ma récente visite est de Georges Picard, et s’intitule: “Petit traité à l’usage
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C’est un endroit hors du temps, en plein Paris. La librairie José Corti, rue de Médicis, en face du Luxembourg. J’ai le souvenir (il me semble avoir le souvenir) d’y être entré, enfant, avec mes grands-parents, un jour qu’ils m’avaient emmené faire voguer un bateau à voile sur le bassin du jardin. J’y suis revenu
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J’ai suivi il y a quelques années un stage de clown, intitulé “Recevoir son clown”, animé par un personnage assez fascinant nommé Hervé Langlois (rien de commun, à ce que je sache, avec mon ami Jacques, qui n’en est pas moins lui aussi, mais pour d’autres raisons, fascinant). Je ne suis pas sûr d’avoir trouvé
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Boris Vian est mort en assistant à la première du film tiré de son roman “J’irai cracher sur vos tombes”. Philip K. Dick est mort la veille d’aller voir “Blade Runner”, tiré de son roman “Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques?” Ce rapprochement produit un sens étrange. Comme si ces deux auteurs, dont tout l’art
La dramaturgie d’un concert (j’espère que je ne vais pas choquer mon ami Maurice en écrivant ce propos apparemment -mais peut-être pas très- catholique) doit pour moi se caler d’une certaine façon sur celle de la messe. C’est curieux à exprimer ainsi, étant donné le nombre de fois (enfant surtout) où je me suis ennuyé
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