J’entendais l’autre jour quelqu’un qui, évoquant l’une de ses connaissances diplômée d’une grande école de commerce, disait : « à cinquante ans, il s’améliore, mais entre vingt et trente ans c’était une hyène ». © Catherine Lanneluc L’image m’a frappé. Moi qui suis passé par HEC dans une vie antérieure, je me suis demandé si

Lu sur la porte fermée d’un établissement accueillant du public: Ouvrez la porte quand vous entrez Merci du tuyau. Je me demande quels genres de minus habens peuvent bien fréquenter cet endroit. © Laurent Galandon

Une horde de géants nébuleux a envahi la scène immense. Empanachés, vaporeux, grotesques, ils se livrent à une sarabande effrénée. Pendant quelques minutes, un éclairagiste de génie met du rouge et du noir sur leurs convulsions, tandis que la bande-son, en décalage total, fait entendre un silence presque complet, juste un bruit d’air et d’eau.

Une Asniéroise d’adoption m’a révélé ce que ni mon père, ni mon oncle, ni mes cousines, pourtant tous Asniérois de souche, ne m’ont jamais dit: Asnières est la ville des ânes. C’est d’eux qu’elle tire son nom. Renseignements pris (dans Wikipedia), les Asnières (il en existe en France une bonne quinzaine) remontent « à une