— Je t’aime. Tu es mon fils, me dit Maman en me prenant la main.
Comme elle est toujours plongée dans les Écritures, j’enchaîne en citant : — Mère voici ton fils, fils voici ta mère.
— Oui, poursuit Maman d’un ton allègre, presque en chantonnant, fils voici ta mère, qui n’est pas amère, et dont le cœur s’est adouci.
Décidément, elle va mieux.