Lu sur un cahier de condoléances : « Seigneur, emmène ma mère au paradis, et fais reposer tous ses péchés, si petits soient-ils, sur mon dos ».
Ça m’a fait sourire. « Si gros soient-ils » m’aurait semblé plus courageux. Les petits, j’imagine (mais peut-être à tort) qu’ils sont plus faciles à porter.
Heu, je n’interprète pas ce texte de la même façon : “si petits soient-ils” me paraît vouloir signifier “tous les péchés, même les plus petits !” ou bien “forcément et uniquement petits parce que c’est ma mère qui est une sainte” (toutefois,je préfère la première explication) mais, peut-être suis-je quelqu’un de particulièrement indulgent pour les enfants éplorés…
Je crois en effet que ta première interprétation est la bonne. 🙂