Petit émoi chez mes amis étudiants de Sciences-Po sur Facebook : le chant que je leur ai fait apprendre lors du stage d’intégration en septembre est devenu l’hymne officiel de la Coupe du Monde de football, chanté par Shakira. (C’est l’Afrique passée à la moulinette du show-biz à l’américaine, les percus et les choeurs y […]
Shakira rue Saint Guillaume Lire la suite »
Perpétuelle litanie des attentats, dans tant d’endroits du monde, en Irak, au Pakistan, en Afghanistan, où l’on se fait régulièrement sauter sur les marchés par paquets de vingt, trente ou cent… Perpétuelle litanie des représailles, des vengeances, des haines. La violence alimente la haine, la peur alimente la mort. « Œil pour œil, dent pour dent
Oeil pour oeil, joue contre joue Lire la suite »
On sait que les faveurs dont jouit un produit dans le public peuvent être fugaces. J’en ai trouvé un bel exemple en fouillant (si je puis dire) l’histoire des roberts. Un site dédié à ce sujet nous apprend ainsi qu’en 1873 « le biberon ROBERT à soupape reçoit une médaille d’honneur, Inscription : Paris 1873
Robert et le pot-au-lait Lire la suite »
Un lecteur, que je remercie, me signale que je suis dans l’erreur sur l’origine du mot robert. S’il signifie sein, ce n’est pas à cause de Robert d’Arbrissel, qui n’y est pour rien, mais d’Edouard Robert, fabricant de biberons à partir de 1860. Je suis allé vérifier dans le dictionnaire basé sur le Trésor de
Robert, biberon et dictionnaire Lire la suite »
J’ai laissé pour le moment inachevée une comédie musicale, intitulée “Les Rats”. Je m’y étais lancé dans la foulée de “Web Love Story” (devenue en français “Pornella Candy ou Le Monde est Parfait”). J’y ai retrouvé la chanson d’un banquier d’affaire, que je vais inclure dans le spectacle que je donnerai cet été au festival
Faut du métier (banquier d’affaire) Lire la suite »
On apprend dans un bulletin de la mairie de Neuilly-sur-Seine que cette bonne ville dépense chaque année 500000€ (cinq cent mille euros !) pour traiter les “déjections canines”… c’est-à-dire en clair nettoyer les crottes de chien. Mettons qu’il y ait cinq mille chiens à Neuilly (je compte le même ratio qu’à Paris, environ un chien
Neuilly-sur-crottes Lire la suite »
C’était il y a dix ans jour pour jour. J’avais pris un verre dans un bar avec mon ami Michel Béra (nous étions encore en train de travailler sur “Web Love Story”), il y avait rencontré une de ses amies, un dîner s’était improvisé, et nous nous sommes retrouvés à cinq à une table en
Guidés par le hasard (ou la divine providence) Lire la suite »
J’ai participé la semaine dernière à une table ronde sur “la crise de la médiation à l’heure d’Internet” qui était sensée avoir un rapport avec la situation de l’édition contemporaine. Je ne sais comment l’organisateur s’y était pris, mais j’étais entouré de trois doctes universitaires spécialistes de l’histoire du livre. Avec le modérateur, nous étions
Diafoirus pas mort Lire la suite »
J’ai reçu un email de mon beau-frère américain, qui ne m’écrit pour ainsi dire jamais. Si j’en parle ici, c’est parce qu’il me demande de lui procurer un document dont il a appris l’existence en lisant la version US de “The Economist” : le calendrier des From’ Girls. Il insiste pour que je lui envoie,
Pierre Barouh est un homme délicieux que nous avons rencontré Claudine et moi le weekend dernier à Deauville. Deauville, je suppose qu’il en est citoyen d’honneur, depuis qu’il a écrit et chanté “Un homme et une femme”. Nous avons la chance de partager sa table. La conversation porte sur la naissance des chansons. Il a
A bicyclette (seul un instant) Lire la suite »
