Vendredi dernier aux trois baudets, Michelle Vian (la première épouse de Boris Vian, ils s’étaient connus en 1940 quand ils avaient vingt ans tous les deux) m’a fait le plaisir et l’honneur d’assister à mon concert. La formule peut paraître plate et surannée, pourtant c’est la bonne, si l’on veut bien un instant redonner leur […]
Michelle Vian retourne aux trois baudets Lire la suite »
En ces temps où les corps de métiers les plus divers vous présentent leurs voeux et vous offrent des calendriers, je vous propose à mon tour la première page de l’un de ceux que j’ai reçus récemment par email. C’est comme un calendrier Pirelli, sauf que là, les pneus sont crevés.
Je me transforme, ces derniers temps, en semeur d’habits. La semaine passée, ayant acheté deux paires de chaussettes (au Monoprix, on connaîtra ainsi le secret de mon élégance), j’ai laissé par mégarde tomber l’une d’elles au moment où je les mettais dans le sac à provisions. Je ne m’en suis aperçu qu’une fois rentré chez
Le semeur d’habits Lire la suite »
Ce soir, concert aux 3 baudets. J’ai mis au programme trois nouvelles chansons : Pauvre Vénus, Un jour -un poème de Boris Vian que j’ai tout récemment mis en musique-, et Si j’étais un arbre. Scott, Gérard et Patrick (mes amis musiciens) les ont découvertes (et travaillées) lors de la répétition. Ces trois “zicos” m’éclatent
Notes de répétition Lire la suite »
Je reçois un email enthousiaste d’over-blog (la plate-forme qui héberge ces petits billets quotidiens) m’annonçant que je suis entré dans le top des blogs, et figure à la 1787è place (sur plus de 1 450 000 blogs), ce qui me réjouit beaucoup, et m’amène à vous remercier, vous qui êtes de plus en plus nombreux
Le top des blogs Lire la suite »
Scott Bricklin livre une très jolie réflexion (sur facebook) à propos de la chanson “Starting Over” qui illustre ma “pensée pour John“. Il écrit que redémarrer (starting over) n’a rien à voir avec le fait d’oublier le passé, et tout à voir avec celui de se souvenir du présent (“Starting Over” (…) has nothing to
Se souvenir du présent Lire la suite »
C’est toute la beauté de l’écriture poétique que d’offrir plusieurs interprétations possibles, comme autant de reflets. Ainsi, dans la chanson “Si j’étais un arbre” dont j’ai livré récemment les paroles, “les nues voyageuses” que j’évoque ont-elles déjà suscité quelques exégèses et commentaires, puisqu’elles se fondent, par construction, sur une ambiguïté : s’agit-il de nuages qui
Les nues voyageuses Lire la suite »
Il a 22 ans et s’en va La vie qui le prend dans ses bras Il lui confie son âme vagabonde Il part seul il dit pour six mois Peut-être plus je ne sais pas Le temps qu’il faut pour embrasser le monde Il voit le large qui l’appelle L’avenir aux couleurs de ciels Où
Mon fils Augustin part lundi pour l’Amérique du Sud. Voyager. Six mois. Je trouve ça très bien, mais j’ai un pincement au coeur. La nostalgie n’est pas étrangère à cette petite douleur. Je me revois, partant aussi à l’aventure. Eté 1971, tour des Etats-Unis en Greyhound, avec sac à dos et guitare. Je n’avais pas
Les trois baudets furent le grand cabaret des années cinquante, sous la direction de Jacques Canetti (photo). Pour s’en tenir à la partie chanson de son histoire, (il y eut aussi, de Pierre Dac et Francis Blanche à Raymond Devos et Jean Yanne, une partie comique) Félix Leclerc y fit ses débuts, premier d’une assez
Arbon, les trois baudets et les autres Lire la suite »
