Ce psychanalyste est également parfumeur. Il cultive un jardin de simples. Il extrait de ses plantes des essences réputées pour avoir une influence bénéfique sur nos humeurs. Il a travaillé longuement avec un “nez” pour que son mélange sente acceptablement bon. Il le vend à ses patientes.
Comme il est lacanien, il a dû aussi travailler sur la relation que tout un chacun entretient avec ses parents, et le couple de syllabes qui les constitue: par et en. On vient au monde par le père et en la mère. Lui a choisi explicitement le côté du par. Mais quelle est la part du en dans sa démarche? De parfumeur à enfumeur?
Autoportrait en enfumeur © Louis Watt-Owen