Depuis ma rencontre avec un astronome qui observe la Terre, sans pour autant la voir de Sirius, j’avais eu envie de traiter du sujet dont il m’avait entretenu: l’homme face à son propre pullulement et à la pression qu’il exerce sur son habitacle terrestre.
Comme nous allons au cours de cette année 2011 accueillir le 7 milliardième de nos congénères, (voir ci-dessous la video que National Geographic consacre à ce sujet) je remets à l’honneur ma chanson “Trop nombreux“. Son tempo est allegretto, comme celui de la reproduction de l’espèce.
De 7 à 77 milliards de mille sabords?