Ils se réveillent, elle passe sa tête sous les draps, puis glissant ses lèvres sur son ventre, elle descend jusqu’à son sexe, qu’elle prend dans sa main, puis dans sa bouche, jusqu’à ce qu’il éclate de plaisir.
L’instant d’après, elle relève la tête, et plongeant intensément son regard dans le sien, elle cite cette parole de Baudelaire : « Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues qu’il ne faut pas lâcher sans en extraire l’or ».
C’est beau, ça, mais un peu cérébral, à mon goût, dans un moment pareil. Lui rappeler à l’occasion, que le même a écrit dans “Les Fleurs du mal” ( l’effleure du mâle?): “Sois charmante et
tais-toi!”