Mack the Knife est la plus célèbre chanson de l’Opéra de Quat’ sous, écrit à la fin des années vingt en Allemagne par Bertolt Brecht et Kurt Weill. Elle possède une sorte d’évidence inexplicable, une gaité paradoxale compte tenu de la noirceur du sujet (l’histoire d’un tueur en série nommé Macheath).
La version de Louis Armstrong (ici en 1959) est celle que je préfère.
Boris Vian en a fait une adaptation française (Les dents longues, redoutables / Le requin tue sans merci), que je me suis amusé à introduire dans deux ou trois de mes concerts récemment.
Merci. Très kitsch en effet ! Mais c’est peut-être du tchèque ?
Voici une version moins connue mais tout aussi savoureuse (en hongrois, je crois) : http://youtu.be/iDU_8hnWcbE
Tu as parfaitement raison !
Je corrige !
J’ai naguère tiqué sur l’amour féminisé(e) au singulier, …avant de rendre les armes devant tes exemples piochés chez les meilleurs auteurs. Mais là, je pense que l'”adaptation de Vian” est le
complément d'”introduire” et non de “je me suis amusé(e)”.A moins que sous les cieux d’Amou, le chanteur ne soit devenu chanteuse…Diantre!