La forêt landaise sait être vaste et profonde.
J’ai une nièce qui, lorsqu’elle était petite, était allée avec ses parents rendre visite à une amie qui habitait au beau milieu des pins. La route était longue, et ma nièce, qui commençait à avoir faim, s’impatientait.
Tout-à-coup, exaspérée, elle s’écria :
– Des pins, des pins, des pins ! Et on ne voit toujours pas l’amie…
PS : je souhaite un bon anniversaire à son père, s’il me lit.
En vieux croûton que je suis, je suppose que ta nièce s’inquiétait de la mie.. Cela me rappelle un autre mot d ‘enfant: une petite fille qui, lorsqu’elle revenait sur une décision, déclarait :
“j’ai changé ma vie”!