On associe généralement les castagnettes aux danseuses de flamenco. A des gitanes belles, ardentes, souveraines, intraitables.
Récemment pourtant, au cours d’une soirée amicale et pleine de chaleur, j’ai vu un homme mûr en jouer. Il chantait en dansant. Sa danse était noble, tendre, toute violence abolie. Son corps lourd était rempli de grâce, et dans ses yeux vivait un bonheur qui semblait venir de très loin. C’était inattendu, et bouleversant. J’ai pris une mauvaise photo avec mon portable. Il nous offrait quelque chose d’impossible à décrire, une figure évanescente et gaie de la bonté, la possibilité d’une humanité généreuse, une rafale merveilleuse et claquante d’espoir.
Cet homme s’appelle Juan Tajes, c’est difficile de ne pas l’aimer.
Gracias, amigo ! Elle s’appelle Claudine, et nous t’embrassons tous les deux
Mon chere Jean-Pierre:
Merci pour les beaux mots, je ne savais pas (je ne sais encore pas) d’étre ou d’avoir une telle projection.
Je t’embrace, et a ta jolie, (dans cette moment je ne me souvienne pas son prénom).
Juan Carlos