J’ai donc envoyé à Daniel la version du Fidèle absolu complétée par mes soins. Et puis, je me suis souvenu que j’avais dans ma bibliothèque, en trois volumes, les fac-simile des manuscrits de Brassens. J’y suis allé voir, et j’ai trouvé un brouillon bien propre de notre chanson.
Le sizain était complet. « Des pays fabuleux ». Rien à redire.
Le vers avait dû sauter lors de la composition du texte pour les “Poèmes et Chansons” du Seuil.
J’avise ici tous les administrateurs de sites de paroles de chansons que pour être absolument fidèles à l’auteur et à leur mission, ils se doivent désormais de corriger l’erreur.
Moi aussi en fait, mais bon…
Bon. Moi, je préférais ta version mais, évidemment, rendons à Georges…