Partie de campagne anglaise


La dame à l’ombrelle, le vieux lord et son ami (Cambridge, 1946), le manoir, le cochon grillé, le punk, la prairie, les dentelles, les chapeaux de paille.
L’Angleterre est encore un pays merveilleux.

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arbon

Cher Monsieur Deroulede, etant, comme vous l’avez rappelé, sous l’influence de mon tonton homonyme, je pourrais vous répondre que ce qui m’inspire dans la vision de la Legion défilant, ce n’est pas le boudin, c’est le tablier de sapeur. Quant a votre Tour de France qui cette année, de Monaco a la Suisse en passant par Andorre, est plutôt un tour des paradis fiscaux, réjouissez-vous qu’aucun vrai patriote ne cherche a le remporter. Votre ami Georges (Clemenceau) Jr.

Langlois

Cette fois, Monsieur, c’en est trop! Je n’avais déjà pas trop aimé vos variations autour de notre Fête Nationale, laissant entendre que, tandis que défilait notre glorieuse Légion, vous vous adonniez à quelques “turlupitudes” avec votre partenaire (au son de “Tiens! Voilà du boudin”, ce qui n’est pas très flatteur pour celle-ci!). Mais là, vous dépassez les bornes avec votre hymne énamouré à notre ennemi héréditaire, au lendemain du 14 juillet et tandis que sur les plus belles routes du monde un cycliste anglais arrogant truste les victoires d’étape d’un Tour insipide. Votre passion pour des auteurs malsains comme Boris Vian ou Georges Brassens vous égare. Ressaisissez-vous, je vous prie!
Votre ami (néanmoins) Paul Déroulède Jr.