Bmibaby, la bourse ou la soif

J’ai voyagé récemment à bord d’une compagnie dite “low cost”, joliment dénommée BMIBABY, à destination de l’Angleterre.

Trois heures et demie d’attente au terminal 1 de Roissy, sans aucune information sur les raisons de l’attente ni sa durée, me paraissaient pouvoir justifier un rafraichissement offert au sol. Eh bien non.

Une fois à bord, n’ayant rien bu depuis le matin, alors que l’hôtesse passait avec son chariot de boissons, je lui ai demandé si la compagnie offrait quelque chose. Non plus. Je lui ai dit alors que je me contenterais d’un verre d’eau.
-Of course, Sir. But we only have bottles. It’s two pounds.


Je l’ai regardée, en pensant très fort “va te faire f…” dans un anglais impeccable. Ça n’a pas entamé son flegme. Elle a débloqué son chariot pour aller racketter la rangée de sièges derrière moi.

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