Father and son


Cat Stevens, à la fin des années 70, est devenu Yusuf Islam. C’est triste, car ça l’a empêché de chanter. Or j’ai beaucoup écouté Cat Stevens, et singulièrement l’album “Tea for the Tillerman” (1970), qui comprenait notamment Where do the children play, Sad Lisa, Hard-headed woman, et Father and son.
Dialogue (de sourds) entre un père et son fils. Sempiternelle histoire, comme le dit la chanson elle-même: “It’s always been the same, same old story”…
C’est une chanson que j’ai souvent eue en tête, il y a quatre ou cinq ans, lorsque les relations auraient pu être tendues entre mon fils et moi.

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