Enfoncez la touche d’un piano, ou pincez une corde de guitare, plutôt vers les graves, et écoutez. Ecoutez jusqu’au bout. Ecoutez le son qui se déploie, s’atténue et meurt de l’épuisement de sa vibration. Ecoutez-le s’enrichir et se dépouiller de l’infinie subtilité de ses harmoniques. Ecoutez comme il vous amène au silence et au songe. Profitez de la rêverie qui s’en suit.

La même chose peut se produire avec la lecture. Lisez une phrase, plutôt poétique, et laissez-la résonner. Ne vous précipitez pas sur la suivante. Laissez-en le sens, l’émotion, ou la musique, retentir en vous, éveiller des échos imprévus, susciter de subtiles associations d’idées. Sondez grâce à elle la topographie de votre esprit, goûtez jusqu’à son extinction l’ébranlement parfois infinitésimal qu’elle a provoqué dans votre être. Et, à nouveau, songez.

La même chose peut se produire avec la lecture. Lisez une phrase, plutôt poétique, et laissez-la résonner. Ne vous précipitez pas sur la suivante. Laissez-en le sens, l’émotion, ou la musique, retentir en vous, éveiller des échos imprévus, susciter de subtiles associations d’idées. Sondez grâce à elle la topographie de votre esprit, goûtez jusqu’à son extinction l’ébranlement parfois infinitésimal qu’elle a provoqué dans votre être. Et, à nouveau, songez.
je connaissais le livre et la tortue mais ps le lievre et les grenouuilles pourquoi grenouilles?
qd au songe il n’est accessible que rarement les bibolaires ont bien du mal à lire / pour le texte TB A+ une prof