Cette idée, que j’évoquais hier, de trouver le dieu de chaque émotion qui est en soi, n’est pas qu’une idée de clown. Elle n’est pas qu’un ressort du spectacle, elle est sans doute l’essence de tout travail artistique.
C’est peut-être un coq à l’âne, mais il y a à Prague un musée Kafka, dont la scénographie restitue admirablement l’univers mental de l’écrivain. On peut y lire cette phrase, extraite de la correspondance (Kafka contracta la tuberculose vers 1915) :
« Pour chaque infirmité, il existe un petit dieu domestique ; pour la tuberculose, c’est celui de la suffocation. »
C’est peut-être un coq à l’âne, mais il y a à Prague un musée Kafka, dont la scénographie restitue admirablement l’univers mental de l’écrivain. On peut y lire cette phrase, extraite de la correspondance (Kafka contracta la tuberculose vers 1915) :
« Pour chaque infirmité, il existe un petit dieu domestique ; pour la tuberculose, c’est celui de la suffocation. »
j’atterris ici par hasard, et j’y suis restée un petit moment, les mots et les images me plaisent, j’y reviendrai c’est sur!