Il ajoute: “Une bonne chose dans les crises, c’est qu’elles révèlent ce que les vérificateurs eux-mêmes ne réussissent pas à trouver.” (Là encore c’est juste: les agences de notation américaines, en particulier, ont crédité de la meilleure note (AAA) des produits financiers cuisinés à base de crédits immobiliers pourris.)
Or, ce commentateur avisé de la période contemporaine est né en Angleterre en… 1826, et mort en 1877.
Il écrivait aussi: “La raison pour laquelle il y très peu de bons livres, c’est que très peu de ceux qui écrivent savent réellement quelque chose”. Son exemple montre malheureusement qu’en plus, ceux qui savent ne sont pas lus, ou pas compris, ou oubliés.