Petite note à l’attention des auditeurs attentifs : les paroles de ma chanson Où va le monde se nourrissent discrètement du vocabulaire des mathématiques (“paraboles et catastrophes”), et notamment des mathématiques du chaos. Je n’y comprends pas grand chose, mais je les trouve peuplées d’objets très poétiques, notamment ces “attracteurs étranges” qui me ravissent, et que l’on doit, semble-t-il, à Henri Poincaré.
Un attracteur étrange (attracteur de Lorenz)
… et inversement, la beauté est sans doute le plus fort attracteur étrange qui existe. Comment résister à la beauté ? Impératif. De la psy à la physique: au centre est la poésie.
Bien vu.