Voici quelques nouvelles concernant Les derniers jours de Harry Yuan.
1. Dîner des primo-romanciers
Le livre, ou plus exactement son auteur, a été distingué comme l’un des 12 primo-romanciers de l’année. Une soirée est organisée à cette occasion jeudi 20 novembre par le Centre National du Livre, avec les partenariats de Madame Figaro et de Livres Hebdo. Chacun des lauréats était invité à se choisir une marraine ou un parrain. Pour ma part, j’ai demandé à Erik Orsenna s’il voulait bien remplir cet office, ce qu’il a accepté très volontiers, m’a-t-il écrit, « d’abord parce que c’est toi, et parce que, ex aequo, ton livre est passionnant ».
Si j’ai sollicité Erik, ce n’est pas seulement parce que ça fait chic d’avoir un parrain membre de l’Académie française, ancien Prix Goncourt de surcroît, mais aussi parce que cela avait beaucoup de sens sachant que l’histoire contée dans mon roman démarre avec l’aventure du livre numérique. Car Erik, au tournant des années 2000, s’était beaucoup intéressé au sujet, ce qui, à l’époque, nous avait amenés à nous croiser plusieurs fois.
2. Signatures
La série de rencontres-dédicaces se poursuit. En voici la liste :
- le 26 novembre à 18h30, dans le cadre du Salon de l’histoire au Cercle National des Armées (pour des raisons de sécurité propres au lieu, inscription obligatoire auprès de Cocktail & Culture (cocktailetculture@outlook.com) en indiquant nom et prénom).
- le 27 novembre à 18h30, à la librairie Valentin tenue par l’excellente Sabiha Daoud, 16 rue Valentin Haüy 75015 Paris.
- le 2 décembre de 11h30 à 14h, au Tribunal de Paris (accès réservé aux magistrats et au personnel)
- le 5 décembre à 18h30, signature privée chez Andrea Creaser, à Paris 17è (possibilité de s’inscrire en m’envoyant un message)
- le 7 décembre de 14 à 18h, au salon du livre de Boulogne, à l’Hôtel de Ville de Boulogne, 26 rue André Morizet.
Si vous êtes en région parisienne, n’hésitez pas à venir, et à diffuser l’information autour de vous. Et n’oubliez pas, puisque va s’ouvrir la période des fêtes, qu’un bon livre est le cadeau idéal ! 😎
Enfin, pour ceux qui n’auraient pas encore entendu la récente chronique de Nicolas Carreau dans le 7/9 d’Europe 1, la voici (de 0’20 à 2’10) : https://www.europe1.fr/emissions/la-prescription-culture/les-derniers-jours-de-harry-yuan-darbon-et-la-serie-ca-bienvenue-a-derry-sur-hbo-et-lapplication-canal-869826?
« Si ce qu’il raconte est vrai, c’est complètement dingue, et si c’est de la fiction, eh bien c’est dingue aussi ! » Nicolas Carreau – Europe1 « Un thriller à la Monte-Cristo » Ilana Moryoussef – France Inter « Objet romanesque non identifié (…) C’est palpitant. » Pierre Vavasseur – Le Parisien / Aujourd’hui en France « Pointu et haletant. » Frédérique Roussel – Libération « Succession (la série) + Les ingénieurs du chaos = Les derniers jours de Harry Yuan (…) Un roman qui vous happe. A quand la saison 2 ? » Caroline Goldszal – Elle « Notre temps inquiet avait besoin d’un thriller techno-politique de ce calibre. » Mille Pages « Un thriller qui rappelle la folie des moguls de la tech, et la manière dont ils jouent au poker menteur avec leurs entreprises et leurs employés. » Dominique Nora – Le Nouvel Obs « D’une virtuosité romanesque machiavélique. » Nicole Grundlinger – Mots pour mots « Un thriller étourdissant (…) Qu’il est bon, cet Arbon ! » Léonard Desbrières – Lire Magazine « Une étonnante fiction mélancolique, visionnaire et acérée. » Hugues Robert – Charybde 27 « Un roman qui se lit d’une traite tant il est bien ficelé » Naïri Nahapétian – Alternatives économiques « Arbon réussit un pari rare : écrire un roman de l’incertitude, suspendu entre récit économique et introspection douce-amère. » Nicolas Gary – Actualitté « Un huis clos plein d’érudition, et un final aussi brillant qu’inattendu. » Librairie de Port-Maria « On aimerait que ça ne s’arrête jamais, tant l’écriture est efficace et complice » Catherine Schwaab – Multi « Un thriller économique où la frontière entre la fiction et la réalité ne tient qu’à un fil. » Olivier Le Creurer – France 3. « Un mélange rare de mélancolie et d’intelligence narrative : on tourne la page pour comprendre ; on la relit pour demeurer. » Marc Bailly – Phenix Web « C’est Wall Street meets Monte Cristo, doublé peut-être d’une rédemption » Sean Rose – Livres Hebdo