
Toutes les Ćuvres de Picasso ne sont pas au musĂ©e. Il dessinait aussi sur le sable. La mer effaçait bientĂŽt ces lignes prĂ©cieuses et Ă©phĂ©mĂšres. Ou si ce nâĂ©tait la mer, câĂ©tait le vent qui sâen chargeait, ou les pas des passants. Quelques heures suffisaient pour quâelles disparaissent.
Elles ressemblaient Ă nos vies.


Jâai un souvenir fort du rĂ©cit fait par Ray Bradbury dans âUn remĂšde Ă la mĂ©lancolieâ. Inoubliable. Merci Jean-Pierre pour ton beau texte đ„°