Il me parle de son fils. — Il travaille dans la finance ; tu ne t’imagines pas les millions qu’il gagne, c’est incroyable !
Il marque une pause. Il avait l’air fier et soudain il a l’air triste. — J’aimerais mieux qu’il fasse quelque chose de sa vie…
À rapprocher du billet du 7 mars sur le fils prodigue…