Ce “elles aussi” fait sans doute référence à l’espèce humaine, qui se croyait jusqu’ici la seule (quelques vicieux bonobos mis à part) à avoir des pratiques amoureuses aussi avancées. Eh bien non. L’observation de la gent chauve-souris nous incite à davantage de modestie.
Pour ma part, je trouve que cette découverte éclaire d’un jour nouveau la fable “La chauve-souris et les deux belettes” de mon camarade La Fontaine:
On sait maintenant ce qu’elle cherchait à y faire. Et du mauvais accueil qu’elle reçut, on peut induire que les belettes n’aiment pas ça.
Notons enfin le commentaire avisé d’un lecteur de l’article: “c’est Batman qui va être content”.
Une réponse à La vie sexuelle des chauves-souris